
Le bon coin du décret tertiaire Astuce n°3 (# changement d'usage) |
🧭Décret tertiaire : ne vous faites pas surprendre par l’évolution de vos surfaces !
L’assujettissement au dispositif Eco Énergie Tertiaire s’applique aux bâtiments ou parties de bâtiments à usage tertiaire dont la surface cumulée est supérieure ou égale à 1000 m². Cependant, certains bâtiments peuvent initialement ne pas être concernés, car leur surface tertiaire déclarée est inférieure à ce seuil.
Mais ce statut peut évoluer dans le temps : lorsque des travaux ou un changement d’usage interviennent (ex. : transformation de locaux industriels en bureaux), la surface dédiée aux activités tertiaires peut dépasser le seuil des 1000 m². Dans ce cas, le bâtiment devient assujetti à compter du changement, conformément au II de l’article R. 174-22 du Code de la construction et de l’habitation.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°4 (# la mémoire du DT) |
⚠️Décret Tertiaire : une fois assujetti, toujours assujetti !
On pense souvent qu’un bâtiment peut « sortir » du champ d’application du Décret Tertiaire dès que la surface tertiaire devient inférieure à 1 000 m². En réalité, ce n’est pas si simple. Une fois qu’un bâtiment a été assujetti, il le reste… tant qu’au moins une activité tertiaire continue d’y être exercée. Et toute nouvelle activité tertiaire qui s’installe dans ce bâtiment entre à son tour dans le dispositif, même si la surface cumulée est très faible.
👉 Dans cet article, on vous explique pourquoi la surface ne fait pas tout, et quelles conditions réelles permettent (ou non) de sortir du décret.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°5 (# extension) |
🔧Toujours mettre à jour la surface : sinon, OPERAT surestime la consommation par m² et vous pénalise injustement !
Quand on ajoute une extension à un bâtiment, la surface totale augmente naturellement. Mais rassurez-vous, cela ne complique pas la gestion des objectifs de consommation d’énergie. En effet, ces objectifs sont calculés en fonction de la surface (en kWh par mètre carré), pas en fonction de la consommation totale en kWh. Cela signifie que même si le bâtiment grandit, l’objectif reste le même par mètre carré. Pour que tout soit bien pris en compte, il faut simplement penser à mettre à jour la surface du bâtiment dans les outils de suivi. Cette étape est importante pour que les résultats reflètent bien la réalité et restent conformes aux règles en vigueur.
💪Pour bien comprendre comment ça fonctionne, on va décortiquer cette règle avec des exemples concrets. Vous verrez ainsi pourquoi il est important de toujours mettre à jour la surface dans les outils de suivi, et comment cela impacte les résultats et la conformité réglementaire.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°6 (# restructuration / rénovation) |
🏗️Décret tertiaire : les m² oubliés font exploser les kWh/m² ! En rénovation, restructuration ? Alors reconstitue, ou échoue !
Dans la course à la performance énergétique, chaque kilowattheure compte. Mais chaque mètre carré aussi.
Trop souvent, les locaux tertiaires non exploités — vacants, en travaux ou désaffectés — sont laissés de côté dans les déclarations. Par oubli, par incertitude, ou pire : par stratégie. Pourtant, ces surfaces "inactives" peuvent avoir un impact très actif sur vos obligations : seuil d’assujettissement, consommation de référence, objectifs à atteindre… et conformité réglementaire.
Le décret tertiaire, lui, ne fait pas la différence entre un bureau occupé et un bureau en chantier. Et à l’heure où la pression monte sur les déclarations OPERAT, une mauvaise interprétation peut coûter cher : objectifs inatteignables, image dégradée, voire sanctions.
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Le bon coin du décret tertiaire Astuce n°7 (# locaux vacants) |
📊Décret tertiaire : Ne laissez pas vos m² vacants travailler contre vous 🧨 Voici la règle qui change tout !
Un bâtiment vide, ça ne consomme presque rien. Donc pas de souci, non ?
C’est précisément ce genre de raccourci qui peut vous faire passer à côté d’un point clé du décret tertiaire… et vous coûter cher.
Lorsqu’un local tertiaire devient vacant – parce qu’un locataire part, qu’une activité cesse, ou que le bâtiment est en transition – on pense souvent que cette période est neutre, voire hors radar. Erreur ! Si cette vacance n’est pas déclarée correctement sur la plateforme OPERAT, elle peut générer des objectifs de performance énergétique faussés, des obligations irréalistes, et bloquer toute possibilité de modulation.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°8 (# locaux désaffectés) |
🏚️ Tu crois qu’il est hors-jeu ? Ton bâtiment désaffecté est dans ton score !
Ils ne consomment plus un kilowattheure, ils n’abritent plus aucune activité, et pourtant… ils peuvent encore plomber vos objectifs réglementaires. Les bâtiments tertiaires désaffectés sont souvent perçus comme “hors périmètre” par réflexe, mais la réalité juridique est plus nuancée. Entre locaux partiellement inactifs, bâtiments totalement déconnectés, ou sites promis à une réaffectation, les règles du décret tertiaire imposent des traitements bien distincts. Un oubli de déclaration ou une mauvaise interprétation peut avoir des conséquences lourdes sur les objectifs de réduction d’énergie, voire sur la valorisation du patrimoine.
👉 Dans cet article : décryptage des textes, points de vigilance à ne pas négliger, et exemple chiffré concret pour bien comprendre ce qu’un désaffecté peut encore vous coûter.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°9 (# chgt propriétaire, activité) |
🔥 Décret tertiaire : l’astuce toute simple que les vendeurs oublient 9 fois sur 10 !
Si vous pensez que le décret tertiaire ne vous concerne pas parce que votre actif va changer de main ou d’usage d’ici dix ans, vous êtes déjà en train de prendre du retard. Et pire : vous risquez de saboter sa valeur.
Trop de propriétaires oublient que tant qu’un bâtiment reste en activité tertiaire, il est assujetti — vente imminente ou pas. Ils continuent à ignorer les déclarations sur OPERAT, négligent le choix stratégique de l’année de référence, ou oublient de recalculer les objectifs après un changement d’usage. Résultat : à la revente, les chiffres ne sont pas bons, les objectifs sont hors d’atteinte, et l’acte de vente s’accompagne d’un passif réglementaire.
Pourtant, il existe des leviers simples, peu coûteux et souvent méconnus pour rester dans les clous… voire transformer une contrainte réglementaire en argument de valorisation.
👉Dans cet article, on vous montre — exemples chiffrés à l’appui — comment une simple mise à jour des objectifs ou une optimisation légère du pilotage technique peut faire toute la différence entre conformité fluide et cauchemar réglementaire.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°10 (# héritage) |
🔗Décret tertiaire : tu ne connais pas ton prédécesseur, mais tu vas payer pour lui !
Dans un contexte où la performance énergétique des bâtiments tertiaires devient un enjeu réglementaire majeur, de nombreuses questions se posent lorsqu’un local change d’occupant. Quels sont les liens entre les différents locataires successifs d’un même espace ? Sont-ils responsables des consommations passées ? Comment garantir la continuité des obligations d’économie d’énergie d’un exploitant à l’autre ?
Le décret tertiaire, avec ses objectifs progressifs de réduction des consommations, impose un suivi précis de chaque bâtiment. Pourtant, en cas de changement de locataire ou de vente du local, la responsabilité énergétique ne disparaît pas : elle se transmet. Cette transmission repose non pas sur un lien direct entre exploitants, mais sur un rôle central du propriétaire, garant de la mémoire énergétique du bâtiment.
👇Dans cet article, nous vous expliquons comment s’articule ce mécanisme, ce que dit précisément la réglementation, et nous illustrons le tout avec un exemple concret et chiffré. De quoi clarifier les obligations de chacun, et éviter bien des surprises au moment de signer un bail ou de reprendre un local.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°11 (# cessation) |
👁️🗨️ Décret tertiaire : Cessez l’activité, pas la vigilance ! Le décret tertiaire vous regarde...
On parle souvent du décret tertiaire pour ses objectifs de réduction d’énergie… mais beaucoup oublient un point clé : que se passe-t-il si vous cessez votre activité en cours d’année ?
La réglementation impose de remonter vos consommations jusqu’à la date d’arrêt, puis la plateforme OPERAT calcule au prorata. Une formalité qui peut sembler anodine, mais qui, mal gérée, peut coûter cher.
👉Dans cet article, on vous donne des astuces simples, légales et efficaces pour que cette étape ne devienne pas un gouffre financier, tout en restant 100 % conforme.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°12 (# repreneur) |
❌Décret tertiaire : Pourquoi punir le repreneur pour le passé qu’il n’a pas vécu ?
Le décret tertiaire, pilier de la transition énergétique en France, impose aux bâtiments à usage tertiaire de réduire progressivement leur consommation d’énergie d’ici à 2030. Si cet objectif ambitieux est essentiel pour atteindre la neutralité carbone, sa mise en œuvre soulève plusieurs défis, notamment dans la gestion des locaux commerciaux. En effet, il n’est pas rare qu’un bâtiment change de locataire, parfois avec des périodes d’inoccupation prolongées, voire des changements d’activités. Ces situations rendent complexe l’attribution des responsabilités et la collecte des données énergétiques, et appellent à des stratégies d’optimisation adaptées.
👉Dans cet article, nous décryptons les enjeux juridiques et pratiques liés au décret tertiaire et explorons les leviers pour optimiser la gestion énergétique tout en respectant les contraintes réglementaires.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°13 (# changement d'activité) |
💳Décret tertiaire : Typologie oubliée = budget explosé
Dans le monde du décret tertiaire, chaque bâtiment assujetti doit respecter des objectifs de consommation énergétique précis. Mais que se passe-t-il lorsque la nature de l’activité change, que ce soit dans un bâtiment, une partie de bâtiment ou un ensemble immobilier ? Pas de panique : le niveau de consommation de référence initial est conservé, mais les objectifs sont adaptés à la nouvelle activité, conformément à l’article R131-39-1 du Code de la construction et de l’habitation. Cette flexibilité permet d’atteindre ses objectifs énergétiques tout en maîtrisant les coûts.
👉Dans cet article, on vous explique comment tirer parti de ces ajustements pour optimiser votre consommation sans exploser votre budget.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°14 (# évolution et déclaration) |
💸Surfaces, activités, bornes IRVE : tout se déclare précisément… ou ça se paie !
L’évolution des activités au sein d’un bâtiment tertiaire n’est jamais neutre : extension de surfaces, arrivée d’une nouvelle activité, installation de bornes de recharge… autant de changements qui doivent être correctement déclarés sur la plateforme OPERAT.
👉 Dans cet article, nous vous proposons un décryptage clair de ce qu’il faut mettre à jour pas à pas, illustré par un exemple concret, et accompagné d’une astuce pratique pour faciliter vos déclarations.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°16 (# changement) |
✍️Transactions immobilières : et si le décret tertiaire devenait le vrai notaire ?
Acheter, vendre ou louer un bâtiment tertiaire, ce n’est pas seulement une affaire de mètres carrés ou de loyers. Depuis l’entrée en vigueur du décret tertiaire, chaque transaction doit aussi tenir compte d’une obligation bien précise : la performance énergétique du bien.
Qui doit fournir quoi ? Quelle information est transmise à l’acquéreur ou au nouveau locataire ? Comment sont fixés (ou recalculés) les objectifs à atteindre ? Et que se passe-t-il si une activité cesse ?
Bref, comme sur Le Bon Coin, il faut savoir ce qu’on achète… et ce qu’on transmet.
👉 Dans cet article, on décrypte tout ça, exemples concrets à l’appui.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°15 (# destruction) |
🔨Détruire pour réduire ? Seule l’efficacité énergétique fait la vraie différence !
Dans le dispositif Éco Énergie Tertiaire, tout est question de suivi réel de la performance énergétique des entités fonctionnelles. Mais que se passe-t-il quand un bâtiment est détruit ou destiné à l’être ? Peut-on “réduire ses consommations” simplement en supprimant des surfaces ?
Ce texte officiel est dense, mais son message est clair : la démolition seule n’a qu’un impact limité. L’objectif relatif peut sembler atteint grâce à la baisse des surfaces, mais l’objectif absolu – celui qui sert réellement à la notation Éco Énergie Tertiaire – suit la configuration réelle des locaux et exige des améliorations concrètes de l’efficacité énergétique.
👉Dans cet article, nous allons décortiquer point par point ce mécanisme, avec des exemples chiffrés, pour que vous compreniez exactement ce qui compte et comment vos actions sur le bâti influencent vos résultats énergétiques. ⚡
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°17 (# restructuration) |
📝Déclarez chaque m² après restructuration… ou payez le prix !
Dans un contexte où la performance énergétique des bâtiments tertiaires devient un enjeu majeur, les opérations de restructuration jouent un rôle clé. Une restructuration consiste à modifier la configuration ou l’usage des espaces au sein d’une entité fonctionnelle, afin d’adapter le bâtiment aux nouveaux besoins des occupants ou aux évolutions de l’activité.
Dans le cadre du dispositif Éco Énergie Tertiaire, ces transformations ne sont pas seulement techniques : elles ont un impact direct sur les obligations réglementaires. En effet, chaque modification des surfaces ou de l’usage doit être correctement reflétée dans les déclarations annuelles, conformément aux prescriptions de l’arrêté du 10 avril 2020 (Table 4b).
👉 Cet article propose de décrypter ces obligations et d’illustrer, de manière concrète, la manière dont une restructuration doit être prise en compte pour rester en conformité tout en optimisant les objectifs de performance énergétique.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°18 (# indicateurs) |
🚫Décret Tertiaire : arrêtez de vous tirer une balle dans le pied, renseignez vos indicateurs !
Les objectifs du dispositif Éco Énergie Tertiaire sont clairs : réduire durablement les consommations d’énergie dans les bâtiments. Mais une question revient souvent chez les assujettis : comment tenir ses engagements quand l’activité évolue fortement ? Plus d’horaires d’ouverture, plus de postes de travail, plus de lits hospitaliers… autant de situations qui font mécaniquement grimper la consommation. 👉C’est là qu’interviennent les indicateurs d’intensité d’usage. Véritables « traducteurs » entre l’activité réelle et la consommation énergétique, ils permettent de normaliser les objectifs pour que la performance soit évaluée de manière juste. Encore faut-il bien les comprendre, et surtout bien les renseigner.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°19 (# en cours de route) |
🚫Décret Tertiaire : Crelat 10 ans pour certains, 5 ans pour toi !
⚡ Réduire les consommations d’énergie dans le tertiaire est un défi… surtout lorsqu’on intègre le dispositif Éco Énergie Tertiaire en cours de route. Primo-assujettis, exploitants déjà en place, bâtiments anciens ou peu performants : les situations varient, mais les obligations restent. Comment définir sa consommation de référence ? Quelles marges de manœuvre entre Crelat (réduction en %) et Cabs (valeur absolue) ? Et surtout, comment utiliser les modulations pour contraintes techniques ou économiques lorsque les objectifs semblent hors de portée ? 👉 Dans cet article, nous décryptons les règles, les cas pratiques et les démarches à entreprendre pour transformer cette contrainte réglementaire en véritable levier de performance énergétique.
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Le bon coin du décret tertiaire - Astuce n°20 (# MAJ Surface) |
📐Décret Tertiaire : Modifier vos surfaces, multiplier vos gains
Saviez-vous qu’une simple erreur de mesure ou une surface mal déclarée peut saboter toutes vos ambitions d’efficacité énergétique ? Dans le monde du tertiaire et des bâtiments anciens, chaque mètre carré compte. Une SDP mal renseignée, ou un espace exploité non mis à jour, ne fausse pas seulement vos chiffres : elle compromet votre trajectoire, vos économies et même votre conformité réglementaire.
Heureusement, il existe un levier simple mais souvent négligé : la correction et l’ajustement de vos surfaces exploitées. Que vous ayez sous-estimé ou surestimé votre espace, mettre à jour ces données peut littéralement transformer votre bilan énergétique et rapprocher vos objectifs de manière tangible.
👉Dans cet article, nous allons décortiquer pourquoi chaque m² compte, comment corriger efficacement vos déclarations, et comment ces ajustements peuvent devenir votre arme secrète pour atteindre vos objectifs énergétiques sans stress ni triche.
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